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À la fois récit personnel et réflexion sur la laidophobie ambiante, Laideronnie jette la lumière sur la culture laideronne. Kareen Martel, refusant la honte et la pudeur généralement de mise, souhaite braquer les projecteurs sur une des formes de discrimination les plus ignorées. À son avis, les laiderons se replient en Laideronnie, mais peuvent également s’y déployer, revendiquer leur territoire et leur identité. La lumière peut aussi s’y faire douce ; en terres moches, on est souvent en bonne compagnie.
Nationalité : Québec
Kareen Martel a vécu son enfance au Lac-Saint-Jean, traversé sa jeunesse à Québec et elle vieillit maintenant à Gatineau. Diplômée en lettres, fonctionnaire à temps très partiel et libraire à l’occasion, elle lit beaucoup et écrit un peu. Elle a publié des poèmes, entre autres dans les revues Le Sabord, Mœbius, Méninge et 17 secondes, et des récits, notamment dans Des nouvelles de Gatineau ! (Vents d’Ouest).