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Sur Arkadie, on dit d’un oiseau que son cri est si grinçant qu’il fait « tourner le vent ». Et il tourne, le vent, parfois au point de bouleverser une existence…
… celle de Lek Williamson, à Riviera, embauché sur la Tagarine afin de participer à une chasse étrange, une folie, oui : rien de moins que de capturer le grand-père des serpents de mer !
… celle de Frédérique Laganière, aux prises avec un désagréable déjà-vu : la navette de son vaisseau le Gagneur est de nouveau retenue par les autorités. Oncle Paul, qui la pilotait, a été assassiné.
… celle d’un homme qui désespère de recevoir les secours qu’il a demandés.
Car à quoi faut-il s’attendre quand s’élève le rire du tournevent ?
Nationalité :
Québec
Francine Pelletier se définit comme une écrivaine de science-fiction : d’abord nouvelliste, elle a publié une quarantaine de textes en revues et collectifs ; ensuite écrivaine pour la jeunesse jusqu’à l’an 2000, elle a ensuite publié une demi-douzaine de romans pour adultes aux éditions Alire. En 1988, son recueil Le Temps des migrations recevait le Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois pour la nouvelle « La Petite Fille du silence », puis le prix Boréal du meilleur livre. Les deux derniers volumes de sa trilogie « Le Sable et l’Acier » se sont également mérité quelques récompenses. Le Rire du tournevent marque son retour, quinze ans après Un tour en Arkadie.
