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La danse du figuier met en dialogue trois générations de femmes : Téta, la grand-mère, Fadwa, la mère et Emné, la fille. La poète écrit la tendresse des femmes qui l’ont précédée. Exercice de filiation entre femmes, où les poèmes recousent les liens brisés par la guerre, la mort et l’exil. « Dans la poésie, j’ai vu la possibilité d’habiter un lieu et d’y retrouver la tendresse des femmes qui m’ont élevée. Écrire revient à les abriter. Comme un geste de maternité. J’ai écrit pour faire demeure. »
Nationality: Quebec
Née en France en 1990, Emné Nasereddine a grandi au Liban, où elle a étudié la littérature française à l’Université Saint-Joseph à Beyrouth. Sa poésie s’inspire de son expérience de l’immigration, des frontières et du deuil, de la vie des femmes libanaises, et des traditions et rites qu’elle a découverts au Sud-Liban. La danse du figuier est son premier livre. Elle vit à Montréal.